Nos événements solidaires

« 24 Heures dans la Jungle de Calais » représente ce qu’était le camp de réfugiés, appelé par ses habitants « la jungle», le 9 et 10 novembre 2015. À cette date, aucune décision d’éviction des migrants n’était en vigueur. Les installations représentées par ces photographies n’existent plus aujourd’hui.
Stéphanie Benedicto s’est rendue 24 heures à Calais. Face aux tensions provoquées par le « sujet » des migrants en France, elle a souhaité transmettre une autre vision du bidonville, la sienne. Ses photographies représentent les simples moments de vie de ces Hommes qui espèrent.

« Donbass Contemplation »
En région du Donbass, à l’est de l’Ukraine, l’horizon résulte de la main de l’homme : champs, terrils, cheminées.Si Donetsk, capitale administrative de la région, tend vers la modernité, sa jeunesse continue à descendre sous terre extraire l’Or Noir du pays, le charbon. À la vue de leurs conditions de travail, qui n’ont pas évoluées depuis l’avant guerre, cette classe ouvrière serait digne d’un roman de Zola.Pendant leur congés, les mineurs échappent à leur quotidien aux abords de la mer d’Azov, souvent à Mariupol, grande ville portuaire où, là non plus, la population ne peut se soustraire à l’industrie. Ainsi, les familles se baignent au milieu des grues et les déchets s’amoncellent sur le sable.Une exposition reflet d’une rencontre. Stéphanie se concentre sur l’aspect social des personnes, Natasha voit la beauté des compositions. Une rencontre entre deux jeunes femmes photographes, entre une culture française et ukrainienne.
Images d’une terre figée en U.R.S.S.